Ce presque rien la p’tite douleur
S’invite à nos éclats de rire
Elles nous laissent des morceaux de coeur
Sur le carreau des souvenirs
Elle connaît sur l’bout d’ma langueur
Mes histoires belles d’amours déçues
Sous les rires sommeillent les pleurs
Ce n’est qu’une question d’retenues
Attention Douleur Fraîche
Qu’est-ce-qui s’oppose, qu’est-ce-qui empêche
Mais les histoires d’amour
C’est comme la peinture
Ca nous fait toujours
Défaut
Attention Douleur Fraîche
Qu’est-ce-qui s’oppose, qu’est-ce-qui empêche
Mais les histoires d’amour
S'écrivent en ratures
Ca nous laisse toujours
Des mots
J’ai couru vite vers le lointain
Là-bas où s’agite l’horizon
Mais elle est revenue un matin
Dans le silence de ma raison
Elle a pris son plus bel hiver
Pour frapper doucement sous le lin
Elle est pareille à la lumière
Ma blessure vive des matins
Attention Douleur Fraîche
Qu’est-ce-qui s’oppose, qu’est-ce-qui empêche
Mais les histoires d’amour
C’est comme la peinture
Ca nous fait toujours
Défaut
Attention Douleur Fraîche
Qu’est-ce-qui s’oppose, qu’est-ce-qui empêche
Mais les histoires d’amour
S'écrivent en ratures
Ca nous laisse toujours
Des mots
Un jour de rien, j’aurai ton regard dans le mien
on ira voir passer le destin
on sera bien
Et yaura sous ta peau la mienne
Et yaura sous les mots je t’aime
je t’aime, je t’aime, je t’aime
Attention Douleur Fraîche
Qu’est-ce-qui s’oppose, qu’est-ce-qui empêche
Mais les histoires d’amour
C’est comme la peinture
Ca nous fait toujours
Défaut
Attention Douleur Fraîche
Qu’est-ce-qui s’oppose, qu’est-ce-qui empêche
Mais les histoires d’amour
S'écrivent en ratures
Ca nous laisse toujours
Des mots
des mots, des mots
ça nous laisse des mots